La palme aux Bugatti

Il existe 3 modèles de la même marque avec une puissance totale de 1 500 chevaux qui, de ce fait, se démarquent des autres. Nous parlons de la marque Bugatti. Parlons en premier de la Bugatti Divo, de 2019, qui est une thermique W16 8,0 litres quadri-turbo. Seulement 40 exemplaires sont sortis de ce modèle. La Bugatti La Voiture Noire est aussi une thermique W16 8,0 quadri-turbo mais 1 unique exemplaire a été produit. Quant à la Bugatti Chiron Pur Sport, elle est sortie cette année et c’est également une thermique W16 8,0 litres quadri-turbo et 16 exemplaires en ont été commercialisés. 3 modèles, même puissance, thermiques toutes les 3.

Koenigsegg sort du lot

La marque Koenigsegg perce également avec ses modèles de voitures très puissantes dont la Koenigsegg Regera de 2015 avec ses 1 500 chevaux. Il s’agit d’une hybride V8 5,0 litres bi-turbo de 1 000 ch et 700 ch en électrique avec 3 moteurs. Produits en 80 exemplaires, ce modèle est assez connu. Par contre, la Koenigsegg One de 2014, une thermique V8 5,0 litres bi-turbo et d’une puissance totale de 1 360 chevaux, n’a été produite qu’en 7 exemplaires. Une autre marque, la Rimac Concept est dotée d’une puissance plus grande avec ses 1 384 chevaux mais elle n’existe qu’en 2 exemplaires.

La vitesse et l’endurance

La première formule de courses de motos correspond bien entendu à la plus populaire puisqu’il s’agit des Grands Prix de vitesse. Ces derniers prennent la forme d’une série de courses durant lesquelles chaque pilote doit tenter de finir le plus haut possible dans le classement afin d’accumuler le maximum de points pour la saison. La compétition de référence reste le Championnat du monde de vitesse moto qui regroupe la Moto3, la Moto2et la MotoGP. À noter qu’il existe aussi des tournois de Superbike et de Supersport.
Les pilotes qui recherchent avant tout un challenge physique et psychologique quant à eux peuvent se tourner vers les compétitions d’endurance. Comme leur nom l’indique, ces courses mettent à l’épreuve la force physique des pilotes par l’intermédiaire de leur durée. Les deux principales compétitions de ce type durent d’ailleurs 24 heures : Le Bol d’or et le 24H Moto. À noter que les compétitions d’endurance se jouent en équipe.

Le moto-cross et l’enduro

Les courses de moto peuvent également se dérouler sur des circuits ouverts. Dans ce cas, on parle de compétitions d’enduro. Lors de ces courses de motos, les pilotes doivent joindre un point A à un point B en un temps imparti. Les principaux tournois de ce type sont l’ISDE et l’Enduropale. Enfin, le dernier type de course de motos correspond au moto-cross. Il s’agit d’une course se déroulant sur un circuit tout-terrain fermé. En raison de l’état des circuits, les courses de moto-cross se révèlent particulièrement dangereuses. Elles restent malgré tout très populaires auprès des amateurs de sports autos-motos puisque le Championnat du monde figure parmi les évènements sportifs les plus suivis. L’autre compétition majeure correspond au Supercross.

Préparer l’essentiel

La première étape de préparation consiste à faire le bilan de l’état général de votre voiture. S’il s’agit de votre premier circuit, n’hésitez pas à aller au garage pour une révision complète. Celle-ci doit vous permettre d’identifier les pièces fragiles, usées ou inadaptées aux conditions du circuit. Si votre voiture est équipée d’une boite de vitesse à rapport court alors que vous vous apprêtez à vous lancer sur un circuit composé en majeure partie par de longues lignes droites, n’hésitez pas à la remplacer avec un modèle à rapport long. À noter d’ailleurs qu’un pilote digne de ce nom équipe toujours sa voiture avec une boite à rapport personnalisable. Pour trouver les pièces auto qu’il vous faut, privilégiez les boutiques spécialisées comme PIECESauto24.lu qui propose des pièces pour plusieurs marques et modèles de voiture. Vous y trouverez notamment des pièces pour une Ford Fiesta, une BMW Touring, une Honda Civic V coupé, une Golf IV, etc.
S’il s’agit de votre 2e, 3e, 4e, ou 10e circuit, le bilan doit être effectué en fonction de vos précédentes performances. Si vous avez ressenti un manque de puissance, revoyez votre moteur ou vos rapports de vitesse. Si vos freins ont été légèrement trop lourds, n’hésitez pas à les modifier. Enfin, pensez à remplacer vos pneus et à les adapter en fonction de la surface constituant le circuit. Le type de pneus utilisés peut déterminer votre performance.

Préparer vos performances

La deuxième étape de la préparation quant à elle consiste à tester votre voiture. Pour cela, rien de tel qu’un tour d’essai durant lequel vous pourrez d’ailleurs identifier les problèmes potentiels de votre voiture. Notez que cette étape vous permettra de réduire les risques durant la course et de mettre au point une stratégie pour réussir un excellent parcours. Elle doit aussi vous aider à déterminer votre stratégie de gestion de carburant. Enfin, cette étape vous aidera à vous familiariser avec le circuit et à trouver les endroits stratégiques où il faudra redoubler d’efforts pour prendre l’avantage sur vos adversaires ou sur votre meilleur tour.

Qu’est-ce que le motocross ?

La course de motocross se déroule sur un circuit de terre avec une longueur de piste de 1,5 km au minimum. Le circuit est fait de nombreux obstacles, notamment des sauts. Ce qui la distingue des autres épreuves de courses moto. Mais, il n’y a pas que des sauts sur ce circuit. Ce dernier comprend également des tremplins, des bosses, des creux pour mesurer le professionnalisme du pilote. La participation à un motocross demande beaucoup de force physique, de concentration et de technicité. Cette course fait appel à toutes les parties du corps, dont les bras, le dos, les jambes et la tête. Il faut à la fois de l’endurance et du moral.

Les différents types de compétition

Le motocross connait une fédération appelée la FIM ou la fédération internationale de motocyclisme. Trois catégories d’épreuves ont été créées. Il y a le MX1 destiné pour les motos à moteurs 2T de 250cc à 4T de 450cc. Ensuite il y a le MX2 pour les motos à moteurs 2T de 125cc à 4T de 250cc. Enfin, il y a le MX3 pour les motos à moteurs 2T de 500cc à 4T de 650cc. Ainsi, pour participer à une compétition de motocross, il faut posséder l’une des motos précitées, les équipements y afférents comme les casques et les gants, appartenir à une moto-club et être en possession d’une licence FFM. Cette licence permet au pilote d’être assuré en cas d’accident. Quelques documents s’avèrent nécessaires pour obtenir cette licence, dont un certificat médical, une photocopie de permis de conduite, une photo d’identité et bien sûr une somme à définir selon la fédération.

Un stage de pilotage sur route

Les stages de pilotage sur route correspondent plus aux conducteurs qui veulent améliorer leur conduite. Par contre, cela n’est pas du tout conseillé si on veut vivre une expérience inédite. Un stage de pilotage sur route se révèle plus comme une ballade sur route accompagnée.

En effet, le problème se pose au niveau de la vitesse, car la route n’est pas un terrain de sport. La conduite sur route doit être réalisée avec une attention particulière. En effet, les routes ne sont pas l’endroit idéal pour courir puisqu’il s’agit d’une voie de déplacement.

Un stage de pilotage sur circuit

Pour ceux qui veulent réellement suivre un stage de pilotage, c’est la meilleure option qui s’offre à eux. Lorsqu’on réalise un stage de pilotage sur circuit, le pilote se concentre uniquement sur le pilotage et le circuit, il n’aura pas à se soucier des passants. Cela lui permet de profiter de la vitesse et de la montée d’adrénaline.

Bref, pour plus de fun et de sécurité, il est toujours plus sage de suivre un stage de pilotage sur circuit que sur route sauf bien sûr ceux qui veulent assouvir un plaisir narcissique sur route.

Pour améliorer la conduite

Ceux qui veulent rouler plus vite et plus sûrement s’inscrivent à un stage de pilotage. Tout au long du stage, un moniteur diplômé est assigné à chaque stagiaire. Ce professionnel est tenu de guider le stagiaire dans l’amélioration de sa conduite. Grâce à l’apprentissage, les réflexes sont affutés.

Un stage de conduite est de ce fait fortement recommandé pour les jeunes conducteurs ou pour les conducteurs à malus.

Pour conduire de belle voiture

Mais, le stage de pilotage c’est aussi pour certains l’occasion rêvée pour conduire une voiture de luxe. En effet, tous les établissements qui organisent des stages de pilotages disposent dans leur parc automobile des voitures de luxe et de sport. Rien que le temps du stage, on se met au volant d’une voiture qui allie confort, luxe et performance.

En revanche, le stage de pilotage est aussi l’occasion idéale pour se mettre dans la peau de ces coureurs automobiles professionnels. Avec les voitures de luxe à conduire et le moniteur diplômé à nos côtés, on a l’impression d’être sur le circuit à faire une course comme un véritable coureur automobile.

À offrir en cadeau !

Il est devenu de plus en plus pratique d’offrir un stage de pilotage en guise de cadeau. Ce type de cadeau s’adapte parfaitement à un homme qu’à une femme. De plus, peu importe l’occasion à marquer, il se révèle toujours comme le cadeau parfait. Certaines écoles proposent même des bouquets-cadeaux suivant les demandes des clients.

Bref, à chacun de choisir le stage de pilotage qui lui convient le plus.

Le port des équipements de protection

Lorsqu’on roule à moto, le port d’équipement est indispensable d’un côté pour assurer la sécurité de la conduite et de l’autre pour optimiser le confort de la conduite. Sur route, le casque est obligatoire tant pour le pilote que pour le passager. Pour plus de sécurité, il est conseillé d’opter pour le casque intégral même s’il n’est pas très confortable. Pour protéger vos yeux, le port de lunettes est aussi nécessaire sauf si votre casque est équipé d’une visière.

Les gants de préférence en cuir permettent aussi de protéger les mains.
Pour une sécurité plus renforcée, il est recommandé de porter une veste en cuir, un pantalon fait en matière résistante et des chaussures.

En effet, à moto, les tongs ne sont pas adaptées, il est plus sage de porter des bottes en cuir.

Une conduite intelligente

Pour réduire les risques d’accident, il est toujours plus sage de conduire prudemment lorsqu’on roule à moto. En cas d’obstacle, il sera plus facile pour le pilote de freiner ou de changer de direction. Notons, par ailleurs, que dans les situations d’urgence, le processus de freinage n’est pas très facile à maîtriser. Avant de freiner, il faut regarder en hauteur et le plus loin possible.

De ce fait, il sera plus facile de prévoir le ralentissement. En cas d’obstacle, il faut garder en vue le point d’arrêt. De plus, la moto se dirige toujours vers la direction où vous regarder.
La position du corps doit aussi être bien étudiée. On doit en tout temps s’appuyer sur le repose-pied pour avoir un bon équilibre. Les genoux doivent être serrés pour optimiser la position d’équilibre. Ensuite, il faut garder les bras raides sur le guidon pour les éviter de glisser vers l’avant. Enfin, la vitesse doit être toujours ajustée surtout si vous conduisez par mauvais temps.

En effet, durant les pluies, la visibilité est réduite et les pneus manquent d’adhérence, ainsi, il est toujours plus sage de réduire son allure. De cette façon, le pilote maintient les distances de sécurité. Cela facilitera le freinage en cas d’obstacle.